lundi 28 mars 2016

Horlini

La grande aiguille du réveil bougea et vena s'installer sur le chiffre 12 tendis que la petite vena se loger sur le chiffre 5.  C'est a se moment que mon réveil sonne me réveillant.

Il est encore tôt mais j'arrive à me hisser jusqu'à la cuisine pour déjeuner, regarder la météo et relire une dernière fois ma carte. Une fois tous ça fini, je termine mon sac, le charge dans la voiture puis je pars dans la nuit, il n'y a encore personne sur les routes, seul les lampadaires veille en ce matin.
Je passe récupérer Camille puis nous rejoignons Sylvie et Yannick au parking de la Coop.

Nos yeux sont encore un peu collés mais je sens l’excitation d'aller faire un sommet. Surtout dans le Haut valais.

Arrivé à Albinen nous constatons que la neige commence à sérieusement manquer, je me pose la question si nous devons faire un portage sur quelques mètres. Heureusement le chemin où la trace passe il y'a encore de la neige.

Nous montons tranquillement à travers les champs d’Albinen pour arriver au hameau de Chermignon.
On y voit même la fameuse installation d’arbalète avec ces 2-3 perches d’arbalète.
A  ce moment nous nous rendons compte que nous avons changé de saison, l'hiver refait son apparition et la neige nous entour.

le soleil approche
Une fois au village, nous décidons de monter au Horlini en passant par le Schnydi. Le soleil pointe timidement le bout de son nez, et on le sent se rapprocher de nous.




Une chose nous surprend en approchant du col du Schnydi. Il y'a une trace de ratrak et qui monte jusqu'au Schnydi. Il s'agit surement d'un itinéraire panoramique pour raquetteur. Les installations ne sont pas si loin d’après ma carte. Nous suivons un cours instant ce chemin avant de continuer en direction de notre somment. Le vente commence gentiment à se lever mais le soleil nous à rejoins.





Arrivé au sommet, il nous reste plus qu'à prendre quelques photos, profiter du paysage puis nous redescendre sur Albinen et profiter du reste de la journée...


Merci pour la journée

Juste à coté il y'a...


















samedi 28 février 2015

Une nuit de Février

En partant depuis la gauche, la constellation du Grand Chien avec l'étoile Sirius (au milieu). Puis la constellation d'Orion avec, sous la trainée de l'avion, l'étoile de Rigel et pour finir au sommet de la photo l'étoile Bellatrix.

Le Trubelstock dans la nuit de gauche a droit: Au sommet il y'a 2 étoiles de la petite Ours, au milieu juste en dessous la queue de la constellation du  Dragon, au milieu la constellation du Chien de chasse.


Préparation de la fondue




lundi 22 septembre 2014

chapitre 2



Chapitre 2 : Le grand pas.


 Jour 1

 7:00 le réveil sonne.  Je me réveille et regarde par la fenêtre. Tiens, je ne suis pas chez moi, j'ai changé mes montagnes contre des immeubles. Je suis à Lausanne chez ma sœur qui a été d'accord de m'héberger pour la nuit. Histoire de pouvoir dormir 1h00 en plus avant de prendre l'avion. Prendre l'avion, voilà un terme qui emballe mon cœur. La dernière fois que je l'ai pris, je devais avoir 8 ou 9 ans. Et j'étais avec ma maman. Maintenant je suis seul, et j'ai la trouille. Mais bref, il faut bien le faire un jour ou l'autre, et j'ai envie de partir du Valais le temps d'un week-end. Départ à 8:48 de Lausanne ce qui m'amène à 9:35 à Genève-aéroport, j'ai prévu large, et une chance, il n'y a pas trop de monde. Mon cœur bat la chamade. Une fois entrée dans la zone France, tout s'enchaîne, le bagage en soute, puis le passage de la zone sécurité. Puis attendre dans le terminal. J'ai encore du temps.Dans le hall, on entend les hauts parleurs annoncer les vols à destination d'ailleurs, toujours pour la France. Je cherche sur le tableau d’affichage la porte à laquelle je devrai me rendre et la trouve . Je profite du temps pour passer un et deux coups de fil, puis vient le moment d'embarquer. C'est un peu l'anarchie avec esayjet, il n'y a pas de file correcte, les panneaux servent juste à décorer, et quand l'hôtesse parle, on ne comprend rien. Rien de rassurant, mais bon, il suffit de suivre celui qui est devant soi et tout ce passe bien. J'embarque dans l'avion. Petit avion  qui a l'air de tenir la route . Une fois tout le monde en place, le décollage. C'est une drôle de sensation que de se sentir soulevé  par la force d'un moteur et celle de la gravité qui vous rappelle à l'ordre des lois physiques. Je vois Genève devenir petit, puis disparaître dans les nuages. Le vol se déroule bien. Il aura fallu 1:30 pour rejoindre Nantes. Le temps de récupérer mon sac à dos, j'attrape la navette en direction de la ville. Une fois à la gare SNCF,  je me sens un peu perdu. Où  suis-je? Je n'arrive pas à me repérer sur le plan. Je prends  une grande inspiration, puis observe autour de moi. Je regarde de nouveau mon plan, enfin je m'y retrouve! Mon hôtel est à deux quartiers  de la gare, il m’a simple et facile d'y accéder. 



J’y dépose mon sac à dos et récupère mon appareil photo.Hop, départ pour découvrir la vieille ville de Nantes. 
Visiter le château du Grand Duc puis la crypte romaine sous la cathédrale et enfin la cathédrale elle-même. La fin d'après-midi de déroule tranquillement à  visité la vieille ville, trouver à manger.


















Je trouve un petit restaurant où je peux manger un repas approprié. En sortant, je me suis souvenu d'un panneau indiquant une balle  au château, pourquoi ne pas y aller jeter un coup d'œil? Aller hop, on y va. Vers 21:00, je me sens fatigué, la journée a été longue et demain elle le sera aussi. Je rentre à l'hôtel  et je m'endors assez rapidement

Jour 2

 7:00 Il est l'heure d'aller manger!!! Pains aux chocolats et délicieuses brioches sont sur le comptoir. Mais Je me rabats sur une bonne salade de fruit et un yaourt. Retour en chambre je prépare mes affaires, profite de dormir encore un peu, il faut dire que la disco qui est en face de l'hôtel à fermé  à 5:00 et que le calme est arrivé seulement à 6:00... 8:30, il est temps de rendre les clefs et de partir sur Vanne. Je profite de faire un petit détour pour visiter encore un peu en me dirigeant vers la gare. J'achète mon billet, et, mince mon train part dans 5 mn, vite je cours sur la voie 11, j'entre et j'entends. : Pour des raisons de problème technique le train aura 5 mn de retard. Et bien, je stresse pour rien. Puis le hautparleur annonce un retard de 10mn. Et bien, si on était en Suisse, ça serait l'émeute garantie. Mais nos braves voisins sont assez calmes, c'est sûrement l'habitude. Le train part avec ses 10 mn de retard. Et chargé  comme un train indien. C'est vrai qu'en Valais on a des vieux trains pourris, mais au moins chez nous, on arrive toujours à ranger nos bagage et les vélos. Là, c'est la cata, une vraie partie de Tetris. J'arrive à Vannes, là encore il me faudra m'orienter sans carte. Heureusement l'hôtel où je suis est facile à trouver.Malheureusement, pas moyen d'y déposer mon sac avant de prendre possession de la chambre... Il sera mon fardeau durant la journée. Je profite du beau temps pour visiter le port, qui est surchargé de quoi ? de gens ? de marchandises ?







Puis direction l'aquarium, où je passe 1h à observer les poissons. 


















Puis randonnée sur le bord de mer, je m'enfonce un peu dans la campagne mais ne m'y attarde pas trop. Il commence à se faire tard et j'aimerai bien aller me reposer. 










Après une courte pause à l'hôtel, je décide d'aller visiter la vieille ville et d'y manger. Une fois cela fait, je me dirige vers le port afin de profiter des derniers rayons de soleil et le voir disparaître derrière le village....

 Jour

A 8:00, je me dis qu'il est peut-être l'heure d'aller déjeuner (petit déjeuner pour les français), puis il sera  temps de préparer mes affaires. Me voilà parti  pour une journée sous les nuages. J'avais vu  une balade du côté de port Anna qui me semblait assez vite faite. Mais je pense que si j'avais su que visiter l'île d'Artz prenais moins de temps que ce que je pensais et si j’avais su que j’avais  largement le temps (bravo les NSCF) j'y serai allé, mais bon. 


Je marche vers le port maritime de la station, de là j'achète un billet pour séné , et direction "Les 3 voiles rouges". 













C'est une randonné assez plate, qui arrive au bout du continent et ouvre sur le golfe du Morbihan. Depuis la berge, on voit le sommet de l’Ile aux Moines, îles d'Artz (où habite depuis des décennies la sœur de ma marraine) et quelques îlots de quelques hectares. On voit des chemins submergés . Sans doute,quand c'est marée basse, il est possible de traverser à pied.












 Je continue mon chemin sur la côte. Un montagnard à  la mer. Il paraît qu'un couple de héron loge vers le Parc du Marais, malheureusement deux gamins traversent le marais le moment où j'arrive. Je ne les verrai pas...











Puis j'arrive au terme du tour de la presqu’île. Je monte dans le bateau du retour, je repasse dans la vieille ville en direction de la gare. Demandant mon billet, on m'annonce que le prochain train sera à 15:50. Il est 14:10 et je ne voulais pas arriver trop tard à Nantes, il me faudra donc patienter. Je n’ai pas assez de temps pour faire une activité, je profite de ce moment pour me reposer, refaire quelques pas dans la ville et écrire ces  lignes. Puis le retour sur Nantes se déroule assez rapidement.

 Jour 4

Une ‘tite grâce mat’, déjeuner à 8:30 puis à 9:00 je rends les clés de chambre puis..... Bah j'ai 2h à tuer. Je profite de ce moment pour aller au Parc aux Machines (hélas fermé)puis je marche au bord de la Loire. 



Mon bus pour l'aéroport est à 11:00. L'aéroport de Nantes-Atlantique est un petit aéroport, chaque hall a sa banque et les portes d'embarquement se situent au 1er étage. Une fois sur place, il ne me reste plus qu'à enregistrer mon sac à dos, à de bavarder avec d'autres passagers et à se laisser voler jusqu'en Suisse...